Se procurer les données nécessaires à la réalisation de recherches en santé au Québec n’est pas de tout repos. Plusieurs personnalités du domaine scientifique, dont Alexandra Obadia, directrice générale de CARTaGENE, et Réjean Hébert, ex-ministre de la Santé désormais doyen de l’École de santé publique de l’Université de Montréal (EPSUM), déplorent la situation et proposent des pistes de solution.

« C’est extrêmement frustrant. On essaie de remplir notre mandat, mais on est constamment bloqué. » – Alexandra Obadia

« C’est triste, parce que par rapport à beaucoup d’autres pays, on a un système de santé unique et universel. Si on était capable d’exploiter ces données, on pourrait faire une contribution extrêmement significative à la science. » – Réjean Hébert

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